Créé le 5 avril 2025. Modifié le par Pierre Alouit
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Depuis plusieurs années, l’intelligence artificielle (IA) ne cesse de faire parler d’elle, tantôt comme une menace, tantôt comme une opportunité. Selon Eric Salobir, président de la Human Technology Foundation, nous sommes à l’aube d’une révolution cognitive qui transforme profondément le monde du travail. Ce changement de paradigme suscite des inquiétudes pour certains métiers, alors que d’autres voient des possibilités d’évolution et de transformation. Comprendre cette transition est crucial pour saisir comment l’IA redéfinit les compétences et les rôles au sein des entreprises.
Eric Salobir, figure remarquable du monde de la technologie, souligne que l’intelligence artificielle (IA) marque une période de transition pour de nombreux métiers. Si certains considèrent cette évolution comme une menace, d’autres y voient des opportunités. Explorons les avantages et inconvénients associés à l’adoption de l’IA dans le monde du travail.
Avantages
La première phase de l’intégration de l’IA dans les entreprises se manifeste par un gain de temps, ce qui a un impact positif sur la productivité. En déchargeant les employés de certaines tâches répétitives, les outils basés sur l’IA permettent aux travailleurs de se concentrer sur des aspects plus stratégiques et créatifs de leur métier.
Ensuite, Salobir souligne l’importance de l’augmentation humaine qui doit accompagner cette transition. Cela signifie que l’IA ne remplace pas les employés, mais plutôt qu’elle transforme et réinvente les métiers, amenant à une évolution positive vers des pratiques plus orientées vers l’humain. Les employés ont ainsi la possibilité de développer de nouvelles compétences, ce qui peut être enrichissant sur le plan personnel et professionnel.
Inconvénients
Malgré ces avantages, la crainte de voir certains métiers disparaître demeure palpable. De nombreux employés s’interrogent sur l’avenir de leurs emplois, craignant que l’IA réduise la nécessité de leur main-d’œuvre. L’automatisation des tâches risque, dans un premier temps, de créer une incertitude, surtout pour ceux ayant des compétences moins demandées sur le marché.
De plus, Salobir mentionne le risque d’une fracture numérique entre ceux qui adoptent l’IA et ceux qui ne parviennent pas à s’y adapter. Certains travailleurs, en particulier dans le Nord-Occident, peuvent se retrouver à la traîne, ce qui exacerbe les inégalités et crée une division au sein même du marché du travail.
En fin de compte, tout cela appelle à une responsabilité collective. Les entreprises, les employés et les gouvernements doivent collaborer pour garantir que personne ne soit laissé pour compte dans cette révolution technologique.
L’impact de l’IA : un temps de transition pour certains métiers selon Eric Salobir
Dans un monde en constante évolution, l’intelligence artificielle (IA) joue un rôle prépondérant dans la transformation des emplois. Eric Salobir, président de la Human Technology Foundation, met en avant ce que pourrait être une transition inévitable pour de nombreux métiers. Plutôt que de rencontrer une menace, cette révolution technologique pourrait être l’occasion d’un renouveau pour le travail humain.
Une révolution cognitive
Eric Salobir décrit l’IA non pas simplement comme une avancée technologique, mais comme une révolution cognitive. Il suggère que, tout comme l’imprimerie et l’écriture à travers l’histoire, cette technologie est source d’anxiété sur les métiers, mais aussi d’opportunités à explorer. Les peurs entourant la possibilité de perdre son emploi face à l’automatisation sont répandues, mais il est essentiel d’adapter nos visions et nos pratiques pour embrasser les changements à venir.
Un changement immédiat
La rapidement de l’évolution de l’IA suscite des interrogations face à notre capacité collective à nous adapter. Salobir souligne que, contrairement aux révolutions industrielles passées qui offraient un certain temps d’adaptation, nous sommes désormais confrontés à une urgence immédiate. L’importance réside dans notre aptitude à réagir rapidement et à apprendre des évolutions numériques antérieures.
Les différentes phases de l’IA
Eric Salobir distingue plusieurs phases dans l’impact de l’IA sur les métiers. La première phase se concentre sur un gain de temps et une hausse initiale de la productivité. Cela peut générer une inquiétude parmi les travailleurs préoccupés par leur sécurité d’emploi. Vient ensuite la nécessité d’augmenter l’humain au sein des emplois, par la réinvention des tâches, et le développement de nouvelles compétences.
Les conséquences sur les métiers
Les craintes relatives à l’inéluctable disparition de certains emplois sont fondées, mais il est crucial de garder en tête que de nombreux métiers pourraient évoluer positivement vers des interactions plus humaines. Avec l’automatisation de certaines tâches, il faudra faire preuve de créativité et de résilience pour s’adapter à ces nouvelles réalités professionnelles. Certaines professions pourraient trouver des opportunités de valorisation dans cette transition.
Le rôle des entreprises
Les entreprises sont au cœur de ce virage technologique. Selon Salobir, leur responsabilité est de veiller à ce que chaque salarié soit inclus dans cette révolution. La mise en place de programmes de formation adéquats et de mentorat croisé pourrait faciliter la transition des employés vers de nouveaux modèles de travail, en favorisant une collaboration enrichissante.
La nécessité d’un soutien collectif
Pour éviter que des métiers ne tombent dans l’oubli, il est impératif d’initier des actions concrètes au sein des équipes et des entreprises. La fracture numérique qui pourrait s’instaurer entre ceux qui adoptent l’IA et ceux qui n’en bénéficient pas doit être comblée. Salobir appelle à rassurer et à inciter à l’utilisation de ces nouvelles technologies, rendant l’ensemble du processus d’adoption collectivement bénéfique.
Une perspective d’avenir
En conclusion de sa réflexion, Eric Salobir souligne que la valeur du travail devra être redéfinie dans ce nouveau paysage professionnel. Il est essentiel de se concentrer sur la qualité et non sur la quantité du travail, pour s’assurer que la productivité ne se fasse pas au détriment de l’humain. Cette direction pourrait nous permettre de consolider des acquis tout en explorant de nouvelles avenues prometteuses.

Eric Salobir, à la tête de la Human Technology Foundation, analyse l’évolution de l’intelligence artificielle (IA) et son impact sur les métiers. Selon lui, nous sommes à l’aube d’une révolution cognitive qui touchera diverses professions. Alors que certains pourraient craindre pour leur emploi, cette transition pourrait également ouvrir la voie à de nouvelles opportunités.
Comprendre la révolution cognitive
Pour une certaine objectivité, il est essentiel de considérer l’IA comme une révolution cognitive. A l’instar des évolutions passées comme l’imprimerie, cette transformation engendre à la fois des peurs et des opportunités. Salobir souligne que cette dynamique rapide nécessite une adaptation prompte de la part des employés et des entreprises afin de ne pas rater le coche de ces changements.
Phases de l’adoption de l’IA
Selon Eric Salobir, l’émergence de l’IA générative se déroule en plusieurs phases. La première est un gain de temps, qui pourrait affecter la productivité à court terme et susciter des inquiétudes parmi les salariés. La seconde, qui devrait comme impératif s’accompagner d’une augmentation humaine, exigera une réinvention des métiers, avec des tâches désormais automatisées. Les employés seront alors appelés à développer de nouvelles compétences.
Gérer la transition dans les entreprises
Les entreprises ont un rôle crucial à jouer dans cette transition. Elles doivent non seulement investir dans de nouveaux outils technologiques mais aussi veiller à ne pas laisser de côté leurs employés. A travers des programmes de formation et de mentorat, ils doivent s’assurer que tout le monde adopte l’IA et en tire profit.
La responsabilité partagée
La responsabilité pour une adoption réussie de l’IA ne repose pas uniquement sur les directions. Les employés, notamment ceux des postes intermédiaires, devront également s’adapter et jouer un rôle actif dans l’intégration des nouvelles technologies dans leur travail quotidien. Cela implique un engagement mutuel, où chacun doit contribuer au processus de transformation.
Vers une meilleure qualité du travail
Au lieu de se concentrer uniquement sur des gains financiers à court terme, il est temps de réfléchir à la valeur du travail et à la qualité de ce dernier. C’est une opportunité pour encourager la réflexion sur comment travailler plus intelligemment, porter un regard critique sur les pratiques actuelles et viser des tâches à plus forte valeur ajoutée.
L’importance de l’inclusion
Enfin, il ne faut pas oublier que cette transition doit inclure toutes les catégories de travailleurs. Selon Salobir, il est crucial que même les métiers considérés comme moins qualifiés ne soient pas laissés pour compte dans cette révolution numérique.
Pour plus d’informations sur les impacts de l’intelligence artificielle sur le marché de l’emploi, vous pouvez consulter des ressources comme cet article ou découvrir le plan de soutien d’Emmanuel Macron pour l’IA à travers ce lien. Pour approfondir votre compréhension du sujet, vous pouvez également lire cet article sur la transformation RH grâce à l’IA.
Impact de l’IA sur les métiers
| Axe d’impact | Description concise |
|---|---|
| Automatisation des tâches | Certaines tâches répétitives seront automatisées, nécessitant une réorientation professionnelle. |
| Réinvention des métiers | Une transformation des compétences sera nécessaire pour s’adapter aux nouvelles exigences du marché. |
| Gains de productivité | Des gains de temps pourront être réalisés, mais avec des inquiétudes légitimes des employés. |
| Fracture numérique | Émergence d’une fracture entre les métiers adoptant l’IA et ceux qui ne s’y adaptent pas. |
| Mentorat et accompagnement | Les entreprises doivent instaurer des programmes de mentorat pour faciliter la transition. |
| Évolution des rôles managériaux | Les managers doivent réinventer leur rôle pour intégrer ces nouvelles technologies. |

L’impact de l’IA : un temps de transition pour certains métiers
Eric Salobir, président de la Human Technology Foundation, évoque l’impact de l’intelligence artificielle sur le monde du travail et la nécessité de s’adapter à cette révolution. Selon lui, nous sommes à l’aube d’une transition majeure où certains métiers vont évoluer, requérant de nouvelles compétences et une réinvention des pratiques professionnelles.
Au cœur de cette transition, Salobir souligne l’importance d’une approche éthique et responsable de l’IA. « Les entreprises doivent être conscientes de leur rôle dans cette évolution, » déclare-t-il. « Il est crucial de ne pas laisser les salariés dans l’incertitude face aux transformations que l’IA apporte. » Beaucoup se demandent si leurs emplois seront menacés, mais il est essentiel de comprendre que certains métiers s’en trouveront enrichis plutôt qu’éradiqués.
Eric se positionne fermement sur l’idée que l’IA ne doit pas être perçue comme une menace, mais plutôt comme une opportunité de redéfinir les rôles. « Bon nombre de tâches répétitives pourront être automatisées, ce qui permettra aux travailleurs de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée, » explique-t-il. Cela implique également une transformation des emplois, où le contact humain et l’aspect relationnel deviendront primordiaux.
Il distingue trois phases dans cette transition. La première phase se concentre sur un gain de temps immédiat, ce qui soulève des inquiétudes parmi les employés. Ensuite, dans une seconde phase, les entreprises devront investir dans l’augmentation humaine, favorisant ainsi un environnement de travail où les employés se réorientent et développent des compétences nouvelles. Cette réinvention est indispensable pour que tout le monde puisse tirer parti des avancées technologiques.
Un autre point important qu’Eric aborde est la fracture numérique qui pourrait se creuser entre ceux qui adoptent rapidement l’IA et ceux qui restent en retrait. Il appuie sur la nécessité d’embarquer tous les acteurs en proposant des initiatives d’éducation et de formation, afin d’éviter que des secteurs ou des populations ne soient laissés pour compte dans cette évolution.
Enfin, Eric conclut sur le fait que pour assurer un avenir prospère, il est crucial que les entreprises prennent en main cette transition avec responsabilité. « La pérennité des savoirs et des talents est au cœur de cette transformation, et c’est à chaque entreprise de se préparer pour relever ce défi, » affirme-t-il avec conviction.
Eric Salobir, président de la Human Technology Foundation, évoque l’impact significatif de l’intelligence artificielle (IA) sur le marché du travail. Alors que certains métiers sont confrontés à des transformations profondes, d’autres voient des opportunités de réinvention. Dans ce contexte, il est essentiel de réfléchir aux étapes nécessaires pour accompagner cette transition et garantir que l’IA devienne un véritable atout pour les entreprises et leurs employés.
Une révolution cognitive en cours
L’IA est souvent perçue comme une menace pour l’emploi, mais Eric Salobir la décrit comme une révolution cognitive comparable à des inventions passées qui ont suscité des inquiétudes. Par exemple, l’imprimerie a créé des craintes concernant la disparition des gardiens du savoir, mais elle a également permis un progrès considérable dans l’analyse et la compréhension des textes. Aujourd’hui, cette dynamique se reproduit avec l’IA, qui a le potentiel de transformer la façon dont les travaux sont réalisés.
Les phases d’évolution professionnelle
Salobir identifie trois phases dans l’émergence de l’IA générative. La première phase est illustrée par un gain de temps et une augmentation de la productivité. Cette phase suscite des craintes chez les salariés qui craignent pour leur emploi. Cependant, cette vision est limitée au court terme.
La deuxième phase, qui doit s’accompagner de l’augmentation de l’humain, implique une transformation des métiers. Cela n’évoque pas seulement une évolution technologique, mais aussi la nécessité de réinventer des postes de travail. Certaines tâches deviendront automatisées, obligeant les travailleurs à se réorienter et à développer de nouvelles compétences.
La dernière phase engendrera un blue print de la main-d’œuvre conçue autour de pratiques plus humaines et interactives, favorisant des relations plus étroites avec les clients.
La fracture numérique : un défi à relever
Une des préoccupations majeures de Salobir est la fracture numérique qui se dessine entre ceux qui adoptent l’IA et ceux qui ne le font pas. À l’échelle mondiale, des solutions doivent être mises en œuvre pour réorienter les professionnels vers cette nouvelle réalité. Il est impératif d’accompagner les travailleurs, en particulier ceux aux compétences moins développées, afin qu’ils ne se retrouvent pas en marge de cette révolution.
Le rôle des entreprises et des employés
Les entreprises ont la responsabilité de créer un environnement d’apprentissage où les employés peuvent se former aux nouvelles technologies. Salobir souligne l’importance du mentorat croisé, permettant aux praticiens d’acquérir des compétences numériques tout en partageant leur expertise avec des collègues moins expérimentés. Cette initiative pourrait aider à réduire le fossé entre ceux qui maîtrisent l’IA et ceux qui l’ignorent.
En parallèle, les salariés doivent également accepter une part de responsabilité en se formant et en apprenant à manipuler ces nouvelles technologies, tout en cherchant à comprendre le travail réel qui se cache derrière chaque métier.
Vers une valorisation de l’humain
Dans ce contexte, Salobir rappelle que l’humain doit rester au cœur des transformations induites par l’IA. La rentabilité à court terme ne doit pas éclipser la pérennité des savoirs et des compétences. Les entreprises doivent prendre conscience des enjeux à long terme, notamment la conservation du savoir-faire et des talents au sein de leurs équipes, car cela constitue un véritable atout dans un marché toujours plus compétitif.

L’impact de l’IA : un temps de transition pour certains métiers
Selon Eric Salobir, président de la Human Technology Foundation, l’émergence de l’intelligence artificielle (IA) représente un moment crucial de transition pour de nombreux métiers. Alors que l’IA s’impose progressivement dans divers secteurs, elle entraîne des changements que les travailleurs doivent apprendre à appréhender. Salobir affirme que cette révolution cognitive ne doit pas seulement être perçue comme une menace, mais comme une opportunité de réinvention des rôles et de l’organisation du travail.
La première phase de cette adaptation se traduit par un gain de temps dans les tâches quotidiennes, ce qui suscite des inquiétudes parmi les employés quant à la sécurité de leur emploi. Cependant, Salobir souligne qu’une seconde phase est nécessaire, celle de la montée en compétences et de la transformation des métiers. Il est essentiel que les entreprises accompagnent leurs employés dans ce processus pour éviter une fracture entre ceux qui adoptent l’IA et ceux qui en sont exclus.
Ce passage vers une nouvelle ère impose aux entreprises de repenser leur approche du travail. Les entreprises doivent devenir des acteurs responsables, s’assurant que leurs équipes soient en mesure de tirer parti des innovations technologiques. Cela implique également une réorganisation des processus et un développement de compétences humaines plus profondes, favorisant ainsi des interactions plus riches avec les clients.
Ainsi, même si la transition pose des défis, elle ouvre également des chemins prometteurs pour une collaboration et un développement professionnel plus enrichissants. L’IA ne doit pas être redoutée, mais plutôt intégrée de manière réfléchie pour bâtir un avenir où travail et technologie coexistent de manière harmonieuse.
FAQ – L’impact de l’IA : un temps de transition pour certains métiers
Eric Salobir considère que l’IA induit une véritable révolution cognitive plutôt qu’une simple révolution industrielle. Il souligne l’importance de revenir à notre capacité d’adaptation face aux changements technologiques rapides.
Les salariés expriment des inquiétudes quant à la disparition de certains emplois et à la nécessité de devoir s’adapter à des tâches automatisées. Ils craignent également une baisse de la qualité du travail en raison de l’automatisation.
Les entreprises doivent jouer un rôle actif en développant des programmes de mentorat croisé, où ceux qui maîtrisent certaines compétences peuvent aider ceux qui ont besoin de guidance, afin de garantir une transition fluide.
Il sera important de développer des compétences inédites qui permettent aux salariés de s’adapter aux nouvelles exigences du marché du travail et d’interagir davantage avec les clients.
Eric Salobir évoque la nécessité de combler la fracture numérique et de rassurer les employés sur l’évolution de leurs postes, en expliquant les avantages de l’IA.
Les dirigeants doivent garantir la pérennité des savoirs et des talents au sein de l’entreprise en veillant à ne pas sous-estimer l’importance des compétences humaines dans l’équation de la rentabilité.
Eric Salobir souligne que la valeur du travail doit rester un principe fondamental, même si la société doit se recentrer sur la qualité du travail plutôt que sur sa quantité.
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