Créé le 19 juin 2025. Modifié le par Pierre Alouit
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Les Nations Unies se montrent de plus en plus préoccupées par les conséquences d’une avancée rapide de l’intelligence artificielle, qui pourrait aggraver une fracture numérique déjà existante entre les pays développés et ceux en développement. Dans un contexte où le marché mondial de l’IA est estimé à 4,8 billions de dollars d’ici 2033, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) alerte sur le risque que les bénéfices de cette technologie demeurent accaparés par un petit nombre d’acteurs économiques, principalement basés en Amérique du Nord et en Asie.
Récemment, les Nations Unies ont rendu public un rapport alarmant sur l’impact grandissant de l’intelligence artificielle (IA) sur la fracture numérique mondiale. Selon la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), sans interventions rapides, les bienfaits de l’IA pourraient intensifier l’écart entre les pays développés, dotés d’infrastructures numériques avancées, et ceux en développement, encore à la traîne. Le marché mondial de l’IA, évalué à 4,8 billions de dollars d’ici 2033, pourrait ainsi favoriser une poignée de pays, notamment les États-Unis et la Chine. Ce rapport souligne donc l’urgence de renforcer la coopération internationale et de recentrer l’attention sur les défis humains posés par ces avancées technologiques.
Avantages
L’intelligence artificielle offre un potentiel indéniable pour transformer positivement le marché du travail et améliorer la productivité. En effet, l’IA permet la création de nouveaux secteurs d’activité et peut générer des gains de productivité significatifs. Si les gouvernements investissent correctement dans la reconversion et le développement des compétences, ces technologies peuvent effectivement contribuer à améliorer les possibilités d’emploi. Par ailleurs, la CNUCED identifie des leviers cruciaux, tels que l’amélioration des infrastructures, l’accès à des données de qualité et le développement des compétences, qui peuvent aider les pays en développement à tirer parti de ces nouvelles opportunités.
Inconvénients
Malgré les avantages potentiels, les risques associés à l’IA sont préoccupants. Le rapport de l’ONU alerte sur le fait qu’environ 40 % des emplois pourraient être affectés par l’automatisation à l’échelle mondiale, mettant en péril les économies basées sur une main-d’œuvre peu coûteuse. En l’absence de mesures correctives, les bénéfices de l’IA risquent de rester concentrés entre les mains de quelques acteurs privilégiés, exacerbant davantage les inégalités entre les nations. L’appel de la CNUCED à un renforcement de la coopération internationale est donc d’une grande importance face à ces défis, tout comme la nécessité d’aligner les stratégies technologiques sur les besoins humains.
Les Nations Unies viennent de publier un rapport préoccupant qui met en lumière les risques associés à l’intelligence artificielle (IA) et son potentiel à creuser davantage le fossé entre les pays développés et ceux en développement. La CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement) alerte sur le fait que, sans intervention rapide, les bénéfices de l’IA pourraient bénéficier uniquement à une majorité restreinte d’acteurs économiques, aggravant ainsi les inégalités. Des mesures sont donc essentielles pour garantir des atouts équitables au niveau mondial.
Des inégalités croissantes dans l’accès à l’IA
Le rapport souligne que le marché mondial de l’IA est estimé à 4,8 billions de dollars d’ici 2033, mais que 100 entreprises concentrent déjà 40 % des investissements privés dans ce secteur. La plupart de ces entreprises sont basées aux États-Unis et en Chine, ce qui exacerbe la fracture numérique entre nations. Ce déséquilibre en matière d’accès à l’IA est alarmant, car il risque de laisser de côté des pays qui peinent à acquérir des infrastructures numériques de base.
Impact sur le marché du travail
Une autre préoccupation majeure évoquée dans le rapport concerne l’impact de l’IA sur l’emploi. Jusqu’à 40 % des emplois à l’échelle mondiale pourraient être menacés par cette automatisation croissante, surtout dans des économies où le coût de la main-d’œuvre est faible. Bien que des opportunités de création d’emplois puissent émerger grâce à cette technologie, le risque de destruction d’emplois est bien réel. Il est donc urgent de réfléchir à des solutions pour pallier ces conséquences.
Appel à la coopération internationale
Face à ce constat alarmant, l’ONU appelle à renforcer la coopération internationale en matière de développement de l’IA. La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebeca Grynspan, soutient qu’il est nécessaire de réorienter l’attention vers les personnes plutôt que simplement sur la technologie. Elle plaide pour une co-création d’un cadre mondial qui permette une utilisation équitable et éthique de l’IA, afin que les bénéfices ne soient pas réservés à une élite.
Les leviers d’action pour les pays en développement
Pour accompagner les pays en développement dans cette période de transition, trois leviers ont été identifiés par la CNUCED : les infrastructures, les données et les compétences. Ces leviers sont essentiels pour garantir des connexions internet fiables, investir dans la puissance de calcul et l’accès à des données de qualité, ainsi que renforcer les systèmes éducatifs pour que les populations puissent acquérir les compétences nécessaires à l’ère de l’IA. La mise en place de telles mesures permettra de garantir que l’IA soit un outil d’inclusion plutôt que d’exclusion.
Pour plus de détails sur les enjeux de la fracture numérique, vous pouvez consulter les articles suivants : Alouit Multimedia, Quid, Services Mobiles, ONU News, Communiqué de presse de l’ONU, et Alouit Multimedia – Frédéric Bardeau.

Les Nations Unies ont récemment tiré la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels que l’intelligence artificielle (IA) pose vis-à-vis de la fracture numérique mondiale. Dans un rapport publié par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), il est mis en évidence que sans actions urgentes, l’IA pourrait accentuer les disparités entre les pays développés et ceux en développement, notamment en matière d’accès aux infrastructures numériques.
Les risques de l’IA pour les inégalités mondiales
Le rapport de la CNUCED avertit que le marché global de l’IA, dont la valeur pourrait atteindre 4,8 billions de dollars d’ici 2033, risque de bénéficier uniquement à une minorité d’entreprises, principalement situées aux États-Unis et en Chine. En effet, ces 100 compagnies représentent déjà 40 % des investissements privés dans la recherche et le développement, laissant peu de place aux autres acteurs, notamment dans le secteur des économies émergentes.
La nécessité d’une coopération internationale
Face à ce déséquilibre croissant, l’ONU appelle à une coopération internationale plus étroite pour garantir que les avantages de l’IA soient partagés équitablement. Rebeca Grynspan, Secrétaire générale de la CNUCED, souligne l’importance de recentrer les efforts autour des besoins des populations plutôt que sur les seules avancées technologiques.
Impact de l’IA sur le marché du travail
Un autre enjeu critique soulevé par le rapport est celui de l’impact de l’IA sur l’emploi. Environ 40 % des postes dans le monde risque d’être affectés, en particulier dans les pays où la main-d’œuvre est peu coûteuse. Bien que des opportunités de croissance et de productivité existent, les dangers liés à l’automatisation demeurent alarmants.
Investir dans des leviers clés pour l’égalité numérique
Pour accompagner les pays en développement dans leur transition vers une économie numérique, la CNUCED identifie plusieurs leviers : infrastructures, données et compétences. Cela implique non seulement d’assurer un accès internet fiable, mais aussi d’investir dans des systèmes éducatifs afin d’équiper les populations des compétences nécessaires pour naviguer dans un monde dominé par l’IA.
Pour en savoir plus sur la réponse de l’ONU face à la fracture numérique mondiale, vous pouvez consulter les articles suivants : ZDNet, JeanMarcMorandini et Alouit Multimedia.
Fracture Numérique et Intelligence Artificielle
| Axe d’analyse | Observations |
|---|---|
| Développement technologique | Les pays développés avancent rapidement dans l’IA, tandis que les pays en développement stagnent. |
| Concentration des ressources | 100 entreprises contrôlent 40 % des investissements mondiaux en R&D, majoritairement américaines et chinoises. |
| Impact sur l’emploi | 40 % des emplois risquent d’être affectés, aggravant les inégalités économiques. |
| Soutien gouvernemental | Investissements nécessaires dans la reconversion professionnelle et l’adaptation de la main-d’œuvre. |
| Infrastructures numériques | Accès à Internet fiable et puissantes capacités de calcul sont essentiels pour les pays en développement. |
| Coopération internationale | Des actions coordonnées sont nécessaires pour éviter une concentration des bénéfices de l’IA. |
| Éducation et compétences | Renforcement des systèmes éducatifs pour préparer les populations aux défis de l’IA. |

Les Nations Unies alertent sur le risque croissant de creuser le fossé entre les pays développés et ceux en retard sur le plan des infrastructures numériques. Dans un contexte où le marché de l’intelligence artificielle pourrait atteindre 4,8 billions de dollars d’ici 2033, il est alarmant de constater que les bénéfices pourraient être accaparés par une minorité d’acteurs, essentiellement basés aux États-Unis et en Chine, selon le rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Ce rapport, publié récemment, souligne que sans intervention immédiate, les avancées technologiques pourraient être la fierté d’un petit groupe d’entreprises, tandis que les pays en développement continuent de lutter pour accéder aux outils numériques de base. En effet, les 100 plus grandes entreprises mondiales concentrent actuellement 40 % des investissements privés en recherche et développement, laissant les autres sur le carreau.
La CNUCED appelle à un besoin urgent de coopération internationale pour réorienter l’attention vers les personnes plutôt que la technologie. Selon ses recommandations, il est impératif que les États-Unis et la Chine collaborent avec d’autres pays pour élaborer un cadre mondial pour l’intelligence artificielle qui bénéficie à tous et non seulement à une minorité.
En parallèle des enjeux de gouvernance, le rapport met en lumière les effets dévastateurs possibles de l’IA sur le marché du travail. Avec jusqu’à 40 % des emplois potentiellement menacés, particulièrement dans des économies où le travail peu coûteux est la norme, on assiste à une dualité inquiétante. Bien qu’il y ait des perspectives de productivité et de création de nouveaux secteurs, les risques d’automatisation pèsent lourdement sur l’avenir des travailleurs.
La CNUCED insiste sur l’importance pour les gouvernements d’investir dans la reconversion, le perfectionnement et l’adaptation de la main-d’œuvre. C’est une condition préalable pour garantir que l’IA ne soit pas un vecteur de pertes d’emplois, mais qu’elle soit un levier d’amélioration des opportunités professionnelles.
Pour faciliter cette transition, l’agence des Nations Unies propose trois leviers essentiels : les infrastructures, les données et les compétences. Garantir des connexions internet fiables, investir dans des systèmes de calcul performant et améliorer l’accès à des données de qualité sont quelques-unes des recommandations visant à doter les populations des compétences auxquelles elles devront faire face à l’ère de l’IA.
Les Nations Unies ont récemment exprimé de vives inquiétudes concernant les implications de l’intelligence artificielle (IA) sur la fracture numérique. Selon un rapport élaboré par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), sans une intervention rapide, les pays développés risquent de devenir encore plus dominants, tandis que les pays en développement pourraient rester à la traîne. Ce déséquilibre menace d’aggraver les inégalités économiques et sociales à l’échelle mondiale.
Le déséquilibre croissant des investissements
Le rapport de la CNUCED souligne que 100 entreprises, principalement américaines et chinoises, détiennent à elles seules 40 % des investissements privés mondiaux en recherche et développement dans le domaine de l’IA. Cette concentration des ressources et des opportunités risque de créer une élite technologique, laissant les pays qui peinent à se doter d’infrastructures numériques de base en marge de cette révolution numérique. Il est impératif d’évaluer comment cet accès inégal aux technologies numériques pourrait renforcer les inégalités entre les nations.
La nécessité d’une coopération internationale
Face à cette situation alarmante, la CNUCED appelle à une coopération internationale accrue. Ce cadre doit se tourner vers l’humain, en défendant l’idée que les politiques publiques doivent être orientées vers les populations plutôt que vers une technologie en constante évolution. Cela inclut le partage des technologies et la mise en place de partenariats pour garantir que les bénéfices de l’IA sont répartis équitablement. Seule une action collective peut permettre une innovation inclusive, où les pays en développement peuvent aussi tirer profit des avancées de l’IA.
Impact sur le marché du travail
Un autre enjeu majeur mis en avant par le rapport concerne le marché du travail. Jusqu’à 40 % des emplois pourraient être affectés à l’échelle mondiale, en particulier dans les pays où l’économie repose sur une main-d’œuvre moins coûteuse. Si l’automatisation offre des opportunités à travers des gains de productivité et la naissance de nouveaux secteurs, elle comporte également des risques considérables. Les gouvernements doivent donc anticiper ces changements et mettre en place des stratégies efficaces pour la reconversion et la qualification de leurs travailleurs.
Les leviers à activer pour les pays en développement
Pour aider les pays en développement à naviguer dans cette transition vers l’IA, plusieurs leviers clés doivent être actionnés. Tout d’abord, il est crucial d’améliorer les infrastructures numériques, en garantissant des connexions Internet fiables. Ensuite, il est indispensable d’investir dans la capacité de calcul et d’assurer l’accès à des données de qualité. Enfin, il est essentiel de renforcer les systèmes éducatifs pour doter les populations des compétences nécessaires dans une ère où l’IA joue un rôle prépondérant.
Face à ces défis, la réponse ne doit pas être uniquement technologique, mais également sociétale. Renforcer les capacités des pays en développement est loin d’être une option, mais une nécessité pour veiller à ce que les avancées en IA bénéficient à tous, et non à une élite restreinte. L’avenir de l’IA doit impérativement s’inscrire dans une dynamique de réduction des inégalités, afin d’assurer un développement harmonieux et inclusif à l’échelle mondiale.

Les dernières révélations des Nations Unies mettent en lumière une réalité préoccupante : l’intelligence artificielle (IA) pourrait accentuer la fracture numérique entre les pays développés et ceux en développement, si des mesures urgentes ne sont pas prises. Le rapport de la CNUCED souligne le besoin de redéfinir les priorités pour que les bénéfices de cette technologie profitent à un plus large éventail de populations.
Alors que l’IA est en train de transformer les secteurs d’activité, une minorité de pays, principalement les États-Unis et la Chine, concentre l’essentiel des investissements en recherche et développement, laissant de côté ceux qui peinent déjà à établir des infrastructures numériques de base. Les 100 entreprises dominantes dans ce secteur détiennent 40 % des investissements mondiaux, ce qui représente un déséquilibre alarmant sur le marché de l’IA.
La CNUCED appelle donc à une coopération internationale renforcée, soulignant l’importance de placer l’humain au cœur des initiatives plutôt que de se focaliser uniquement sur la technologie. L’impact de l’IA sur le marché du travail est également une source d’inquiétude. Avec la perspective que jusqu’à 40 % des emplois mondiaux soient menacés, la nécessité de repenser les formations et la reconversion professionnelle devient impérative.
Enfin, pour accompagner les pays en développement, la CNUCED identifie des leviers clés que sont les infrastructures, les données et les compétences. Investir dans ces domaines est essentiel pour s’assurer que l’IA ne devienne pas un outil d’exclusion, mais bien un vecteur d’opportunités et d’amélioration des conditions de vie pour tous.
FAQ sur l’alerte de l’ONU concernant l’intelligence artificielle et la fracture numérique
Quelle est l’alerte lancée par l’ONU ? L’ONU prévient que l’intelligence artificielle pourrait approfondir le fossé entre les pays développés et ceux en développement, si des mesures urgentes ne sont pas prises.
Quel est le marché mondial de l’IA estimé ? Le marché mondial de l’IA est évalué à 4,8 billions de dollars d’ici 2033.
Quelles entreprises dominent les investissements en IA ? Environ 100 entreprises, principalement basées aux États-Unis et en Chine, détiennent 40 % des investissements privés mondiaux en recherche et développement dans ce domaine.
Quelles solutions propose la CNUCED pour réduire ce déséquilibre ? La CNUCED appelle à renforcer la coopération internationale et à recentrer l’attention sur les personnes plutôt que sur la technologie.
Quel est l’impact de l’IA sur le marché du travail ? Jusqu’à 40 % des emplois pourraient être affectés, surtout dans les économies avec une main-d’œuvre peu coûteuse, mettant en lumière des risques d’automatisation.
Comment les gouvernements peuvent-ils atténuer les risques liés à l’IA ? En investissant dans la reconversion, le perfectionnement et l’adaptation de la main-d’œuvre, afin de garantir que l’IA enrichisse les possibilités d’emploi.
Quels sont les trois leviers identifiés par la CNUCED pour accompagner les pays en développement ? Les leviers sont les infrastructures, les données et les compétences nécessaires à l’ère de l’IA.
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